Le marché de l’art prend un nouvel envol…
[vc_row css_animation="" row_type="row" use_row_as_full_screen_section="no" type="full_width" angled_section="no" text_align="left" background_image_as_pattern="without_pattern" css=".vc_custom_1575540200441{margin-bottom: 30px !important;}" z_index=""][vc_column width="2/3"][vc_single_image image="18204" img_size="large" alignment="center" qode_css_animation="" css=".vc_custom_1622295848086{margin-bottom: 20px !important;}"][vc_column_text] Le marché de l'art ne s'est jamais si bien porté ! À l'annonce du confinement en mars dernier, les galeristes ont cru disparaitre. Le tiers menaçait de fermer. Le volume des ventes aux enchères a chuté de 80%. Et puis miracle ! La digitalisation a tout sauvé au point que l’indice de confiance dans le marché de l’art établi par la société d’étude ArtTactic, ayant chuté à 6,4 % en mai, est remonté à près de 45% en novembre. Toutefois, pas simple de convaincre les collectionneurs de se défaire de leurs bijoux en temps de crise. Sauf à y être acculé. Plusieurs musées américains se sont séparés de quelques unes de leurs œuvres. Au rendez-vous : les vieux réflexes spéculatifs. L'impact du coronavirus a accéléré les ventes en ligne : les ventes aux enchères en ligne de Christie's, Sotheby's et Phillips ont généré 370 millions de dollars (329,3 millions d’euros) au cours du premier semestre 2020, soit 436% de plus que pour la même période en 2019 ! Les ventes en ligne ont représenté 28,3% du total des ventes de ces trois acteurs au cours du premier semestre 2020, contre seulement 1,2 % en 2019. (Source Etude Hiscox : Marché de l'art en ligne, 2020). [/vc_column_text][/vc_column][vc_column width="1/3"][vc_widget_sidebar sidebar_id="sidebar"][/vc_column][/vc_row]...